Elle ne voulait pas, alors que lui oui…
Pardonnez, cher lecteurs, ce titre accrocheur, uniquement destiné à accroitre l’audience ! Voici un nouveau cas concret qui, même s’il se déroule dans un contexte très spécifique, peut se révéler très intéressant pour vous.
J’accompagne une cliente qui a créé depuis quelques mois une agence immobilière. Grâce à son travail, le succès est déjà au rendez-vous. Mais, lors d’une réunion de suivi, elle me fait part d’un blocage face à une situation qu’elle maitrise habituellement parfaitement. Dans le cadre de la vente d’un appartement, l’acheteur a évoqué à plusieurs reprises le fait qu’il avait lui-même un bien à vendre. Et c’est une situation classique pour tous les agents immobiliers, qui en profitent généralement pour ainsi capter de nouveaux mandats. Mais dans ce cas particulier, ma cliente doute et hésite à proposer à son acheteur de s’occuper de la vente de son appartement. Est-ce la peur de l’échec ? D’être mal perçue ? Une manifestation du syndrome de l’imposteur ? Quoi qu’il en soit, la machine à gamberger est en route, et elle ne produit rien de bon ! Nous travaillons sur une tactique pour lui permettre de dépasser cette appréhension ponctuelle. Et devinez la réponse de son client : « Ah ! Je suis content que vous me proposiez de vous occuper de la vente de notre appartement. On avait peur que vous ne vouliez pas vous en occuper… »
Quelles bonnes pratiques peut-on identifier dans ce cas concret ?
- Identifier ses pensées limitantes, pour pouvoir contenir leur effet négatif
- Préparer une tactique adaptée à la situation
- Faire preuve du courage nécessaire pour dépasser ses craintes
Essayez ! Vous serez très souvent récompensés…
Répondre
Se joindre à la discussion ?Vous êtes libre de contribuer !